Au travail

Après la mise au vert, et l'expression de ma frustration dans le post précédent, j'ai enfin trouvé un mode de fonctionnement. Revenir aux fondamentaux. C'est à dire, vivre avec ma vision personnelle de l'écriture  sans  me prendre la tête, me compliquer la vie, et sans chercher ailleurs ce qui pourrait alimenter mon moulin. Cela fait quelques mois que j'ai franchement beaucoup de mal à m'y mettre, et maintenant je sais ce qui me bloque : mes petits acquis. Mes 2 romans terminés et le fait que je vous en parle, je vous bassine avec ça à longueurs de post sur ce blog... C'est bien d'en parler mais rien n'avançant ces derniers temps, Il me faut impérativement me tourner vers l'avenir et continuer à écrire, il n'y a que de cette façon que je me sente vraiment moi.

J'ai commencé il y a six mois mon 3e roman qui s'intitule "Lettres Majuscules" et qui met en scène une jeune femme de 22 ans qui disparait volontairement de sa petite famille pendant plus d'un an, pour ne réapparaitre que par le biais de lettre qu'elle va envoyer à son père, sa mère et son frère. Elle va tout leur dire, dévoiler tous les secrets qu'elle a percés sur chacun d'eux et qu'ils ignoraient qu'elle sache. De là va sortir un lourd secret de famille... C'est un roman semi-épistolaire. Semi car entre les lettres, j'ai ajouté de la narration, pour décrire des climats de tension.
J'ai également entamé les trois premiers chapitres de la suite de "134, rue de Belleville Tome 1 : La vie selon Max" qui s'appellera en tome 2 : "Le choix d'Émilie".

Voilà, le blog reprendra la place qu'il avait au départ : un espace de détente, de lâchage, et de partage.

Merci encore aux habitués de me lire régulièrement, et bienvenue aux nouveaux lecteurs qui ont atterri ici au hasard de leur navigation sur le web et qui visitent les lieux. Prenez le temps de vous poser, cet endroit se veut convivial :-)

Comments

[Lila]

Des projets, de l'envie de bondir et rebondir. Regarder devant, s'armer, s'armer de sa force intérieure et personnelle, son énergie, sa motivation, son imaginaire, sa plume et continuer, encore et encore, parce que écrire est ton moteur, Renaud...
A un de ces jours, peut être.
Bises
Lila